Bienvenue au Conseil d’administration de l’ACÉA pour 2018-2019 et bonne continuation à l’équipe de la Revue canadienne des études africaines (RCÉA)!

Conseil d’administration:

Présidente – Meredith Terretta, Université d’Ottawa, @MTerretta

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Meredith Terretta a obtenu son doctorat en histoire de l’Afrique à l’University of Wisconsin-Madison. Elle est titulaire de la Chaire Gordon F. Henderson en droits de la personne et enseigne l’histoire à l’Université d’Ottawa. Elle est spécialisée dans des thèmes de mouvements de libération africains, d’activisme juridique, d’histoires de recherche d’un refuge et des droits de la personne. Elle a récemment codirigé African Asylum at a Crossroads: Activism, Expert Testimony, and Refugee Rights (Ohio University Press, 2015). Son livre d’un seul auteur le plus récent s’intitule Nation of Outlaws, State of Violence: Nationalism, Grassfields Tradition, and State-Building in Cameroon (Ohio University Press, New African Histories Series, 2014). Ses articles ont été publiés dans de nombreuses revues, y compris The Journal of Contemporary History, The Canadian Journal of History, Matériaux pour l’histoire de notre temps, Politique africaine, The Journal of World History, Human Rights Quarterly et The Journal of African History. Elle travaille actuellement sur un livre intitulé provisoirement Activism at the Fringes of Empire: Rogue Lawyers and Rights Activists In and Out of Twentieth Century Africa.

Vice-président – Uwafiokun Idemudia, Université York

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Département des sciences sociales

Professeur agrégé
Coordonnateur de programme, Études du développement international (IDS)

https://profiles.laps.yorku.ca/profiles/idemudia/

 

 

 

 

Secrétaire-trésorière – Miriam Grant, University of British Columbia

Conseillers

Nathan Andrews, University of Northern British Columbia

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En ce moment, je termine la recherche qui a constitué la base de ma bourse postdoctorale Banting. Le projet est axé sur les implications socio-économiques et politiques du développement pétrolier et gazier au Ghana. Avec ces connaissances du Ghana, je cherche à inclure deux pays supplémentaires, après quoi le projet serait rédigé comme manuscrit de livre pour une publication éventuelle. Entre-temps, je travaille également avec le Dr Jesse Ovadia (University of Windsor) et le Dr Andrew Grant (Queen’s University) à la rédaction d’un volume basé sur un atelier financé par le CRSH qui s’est déroulé en septembre 2017 et qui s’intitule Mobilizing Canadian Knowledge on Natural Resource-Based Development in Africa. Ce projet est précédé d’un autre livre en cours de révision par la University of Toronto Press, un livre qui fut aussi le résultat d’un atelier organisé à Queen’s University en mai 2016 et centré sur le rôle du Canada dans les secteurs des ressources naturelles en Afrique. En plus de mon travail de doctorat, tous ces projets en cours renforcent mon intérêt pour l’économie politique internationale de l’exploitation des ressources naturelle, bien que j’aie un certain nombre d’intérêts de recherche connexes et variés. Je serais heureux de travailler avec tout-e étudiant-e qui s’intéresse à l’un de ces domaines de recherche.

https://www.unbc.ca/international-studies-graduate-program/dr-nathan-andrews

Sylvia Bawa, York University

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Dr Bawa est professeure adjointe en sociologie à l’université York. Sociologue internationale, elle s’intéresse aux questions de la mondialisation et de l’économique politique internationale, de la postcolonialité et des discours sur les droits des femmes et leur autonomisation en Afrique. Son travail considère, dans une perspective féministe postcoloniale, la manière dont les idéologies socioculturelles, économiques et religieuses influencent les discours sur les droits des femmes, l’enseignement supérieur et l’autonomisation au Ghana. Ses intérêts secondaires portent sur les ONG, récits de pauvreté et de salut dans les discours philanthropiques sur les femmes et enfants africains dans des contextes postcoloniaux.

 

Simonne Horwitz, University of Saskatchewan

Simonne Horwitz est professeure agrégée au département d’histoire à l’University of Saskatchewan, où sa recherche et son enseignement portent sur l’histoire de l’Afrique australe et l’histoire de la médecine. Elle a aussi un intérêt poussé pour, et enseigne et supervise au sujet de, des questions en Histoire du développement, Genre et sexualité et Génocide et tueries de masse. Simonne a obtenu son diplôme de premier cycle à l’University of the Witwatersrand (WITS) en Afrique du Sud et sa maîtrise et son doctorat à Oxford University en tant que boursière Rhodes. Son premier livre, Baragwanath Hospital, Soweto: A history of medical care 1941-1990, a été publié par Wits University Press en 2013, et démontre comment cette institution en pleine croissance, sous-financée mais étonnamment efficace, a trouvé un créneau qui lui a permis d’exister, de fournir des soins médicaux à un groupe substantiel de patients et par moments même de prendre de l’envol au sein de l’état d’apartheid. L’histoire de cet hôpital unique et des médecins et infirmières qui y ont travaillé nous en dit long sur l’idéologie et la pratique de l’apartheid, ainsi que sur la résistance qui s’y est opposée, dans le domaine des soins de santé. Depuis, elle a travaillé sur l’histoire comparée du Canada et de l’Afrique du Sud en se concentrant sur la politique raciale et sur des préoccupations liées au VIH/sida dans les deux pays et actuellement un projet sur l’Histoire de la greffe de rein en Afrique du Sud. La greffe rénale est particulièrement intéressante dans le contexte de l’apartheid car elle s’est développée comme une procédure médicale d’élite, réalisée par un groupe privilégié de médecins blancs sur des patients pour la plupart blancs; c’est devenu un symbole de la suprématie blanche dans le pays. Ce projet développera une histoire qui abordera la race, la médicine et la découverte de manière à illustrer la façon dont l’apartheid a été mis en œuvre au sein d’institutions médicales, de patients et de programmes de recherche.

Katrina Keefer, Trent University

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Katrina Keefer est professeure associée à Trent University, Ontario, Canada. Historienne de la culture, elle est spécialisée dans les sociétés d’identité, de marquage corporel, d’esclavage et d’initiation en Afrique de l’Ouest. Elle collabore au Liberated Africans Project et au projet Studies in the History of the African Diaspora – Documents (SHADD), qui traitent tous les deux de la biographie dans le monde atlantique. Keefer travaille sur un projet numérique à grande échelle en sciences humaines sur l’utilisation des marques corporelles permanentes pour mieux décerner les origines et le lieu de naissance, et se lance dans des recherches connexes. Elle a déjà publié des articles sur la cicatrisation, le Poro et l’identité au Sierra Leone.

 

Ex officio (en vertu d’être les rédacteurs de la Revue canadienne des études africaines):

Belinda Dodson, University of Western Ontario (Rédactrice coordinatrice)

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Belinda Dodson est rédactrice coordinatrice de la RCÉA, un poste qu’elle occupe depuis 2015. Auparavant, elle a été rédactrice de la RCÉA de 2012 à 2015. Elle est membre de l’Association canadienne des études africaines depuis 1998. Elle est diplômée de l’University of Kwazulu-Natal en Afrique du Sud et détient un doctorat en géographie de Cambridge University en Angleterre. Elle a été membre du corps professoral à l’University of Cape Town dans les années 1990 et a rejoint le corps professoral du département de géographie à l’University of Western Ontario au Canada en 2002. Sa propre recherche porte sur l’intersection du genre, de la migration et du développement, en mettant l’accent sur les pays de l’Afrique australe. Son travail a été publié dans des ouvrages ainsi que des revues telles que Africa Today, Agenda, Canadian Journal of African Studies, Feminist Review, Gender Place and Culture, Health and Place, Migration and Development et South African Geographical Journal.

Julie Archambault, Concordia University

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Julie Soleil Archambault est professeure adjointe au département de sociologie et d’anthropologie de Concordia University. Elle a obtenu son doctorat en anthropologie de la School of Oriental and African Studies en 2010 et est corédactrice de la Revue canadienne des études africaines depuis 2016. Son premier projet de recherche portait sur les nouveaux espaces intimes virtuels ouverts par la communication par téléphone cellulaire au Mozambique et a étudié les luttes quotidiennes des jeunes à travers le prisme de leurs pratiques en matière de téléphone cellulaire. Elle a également mené de la recherche sur les relations êtres humains-plantes et écrit actuellement un livre sur le ciment et la prospérité en Afrique. Julie est l’auteure de Mobile Secrets: Youth, Intimacy and the Politics of Pretense in Mozambique (University of Chicago Press, 2017) et son travail a également été publié dans la Journal of the Royal Anthropological Institute, Cultural Anthropology, American Ethnologist, Africa, Politique africaine et New Media and Society.

https://www.concordia.ca/artsci/sociology-anthropology/faculty.html?fpid=juliesoleil-archambault

Martin Evans, University of Chester

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Martin Evans est responsable du programme d’études sur le développement international à l’University of Chester. Ses intérêts principaux portent sur les zones géographiques économiques et politiques rurales de l’Afrique sub-saharienne, particulièrement les situations de conflit et de « post-conflit ». Il mène un programme de recherche de longue date en Casamance, au Sénégal, qui s’est récemment étendu à l’étude de l’efficacité des interventions de développement visant à soutenir la culture du riz paddy dans un contexte de changement climatique et social. Il s’intéresse également aux débats émergents sur les implications géostratégiques des changements climatiques. Il est Rédacteur des articles liés à la géographie pour la Revue canadienne des étudies africaines.

https://www1.chester.ac.uk/departments/geography-and-international-development/staff/martin-evans

Cedric Jourde, University of Ottawa

Cédric Jourde est professeur agrégé à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa. Ses recherches portent sur l’intersection entre ethnicité, islam et statut sociaux en Afrique de l’Ouest, ainsi que sur les transformations des régimes politiques.

Matthew Mitchell, University of Saskatchewan

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Matthew I. Mitchell (doctorat Queen’s) est professeur adjoint au département des études politiques à l’University of Saskatchewan. Avant d’occuper ce poste, il était professeur adjoint à la School of Conflict Studies de Saint Paul University et boursier postdoctoral du CRSH au département des sciences politiques de l’University of Wisconsin-Madison. Sa recherche porte sur la politique africaine, la politique autochtone mondiale, la réforme du régime foncier, la migration et le conflit, les ressources naturelles et la gouvernance, la consolidation de la paix et la violence politique. Son travail a été publié dans des revues telles que African Studies Review, Commonwealth & Comparative Politics, Democratization, Ethnopolitics, Journal of Agrarian Change et Journal of Peace Research. Il a également publié dans de nombreux ouvrages et est coéditeur de New Approaches to the Governance of Natural Resources: Insights from Africa (Palgrave Macmillan, 2014) et People Changing Places: New Perspectives on Demography, Migration, Conflict, and the State (Routledge, 2018). Il est corédacteur de la Revue canadienne des études africaines depuis 2015.

https://artsandscience.usask.ca/profile/MatthewMitchell#/profile

Jonathan Roberts, Mount Saint Vincent University (Rédacteur des critiques de livre)

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Professeur agrégé et président

Baccalauréat, maîtrise McGill University
Doctorat Dalhousie University

Jonathan Roberts est originaire de Lantzville, en Colombie-Britannique, et il est arrivé à Mount en 2008. Il est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise de McGill University et d’un doctorat de Dalhouse University.

Jonathan est spécialisé dans l’histoire de la médecine et de la religion en Afrique de l’Ouest, avec une attention particulière à l’histoire de la guérison au Ghana. Dans le cadre d’un projet financé par la British Library, il archive actuellement des archives de procès de sorcellerie conservées dans des sanctuaires à Accra, au Ghana. Il s’intéresse également à la politique du tourisme du patrimoine aux forts d’esclavage en Afrique de l’Ouest.

À Mount, Jonathan enseigne des cours en histoire de l’Afrique et du monde. Il a récemment enseigné les cours suivants : World History, Cultural Encounters in the Modern World, the Early African Past, Modern Africa et Religions in African History.

http://www.msvu.ca/en/home/programsdepartments/BA/history/facultyprofiles/jonathanroberts.aspx

Roger Riendeau, University of Toronto (Rédacteur gérant)

 

Bureau de l’ACÉA

Pius Adesanmi, Directeur de l’IÉA (piusadesanmi@gmail.com)

Annisha Sealy, Responsable de l’administration de l’ACÉA

Sarah Katz-Lavigne, Responsable de l’information et du plaidoyer de l’ACÉA, @SarahGeoKL

 


Publié le 18 octobre 2018